Voici qu’elle n’est pas bonne, la rumeur que j’entends Selon les termes du verset Chmouel 1, 2, 24 : “cessez donc, mes enfants, car elle n’est pas bonne, la rumeur que j’entends courir, à votre propos, dans le peuple de D.ieu”, faisant état de la réaction du grand-prêtre Ely, quand il apprit que ses fils retardaient l’offrande des sacrifices apportés par les femmes qui devaient se purifier. Ce faisant, ils les empêchaient de rentrer chez elles et de s’unir à leur mari, comme le relate le traité Chabbat 55b. Cette citation, introduisant le présent essai, évoque, de cette façon, l’union d’un homme et d’une femme. Aussi est-elle à propos pour décrire la prière, qui unit “le Saint béni soit-Il à Sa Présence”, c’est-à-dire les éléments masculin et féminin du monde d’Atsilout*, les Attributs de Zéer Anpin* et celui de Mal’hout*. De fait, l’Admour Hazaken, dans cet essai, formule des remontrances aux ‘Hassidim d’une certaine communauté, qui ne permettaient pas que l’officiant, conduisant la prière dans leur synagogue, soit quelqu’un qui prolonge longtemps sa prière, parce que l’un d’entre eux souhaitait achever la sienne au plus vite, afin de pouvoir se consacrer, par la suite, à ses activités professionnelles. Rabbi Chnéor Zalman souligne aux membres de cette communauté qu’il est préférable que celui qui est empêché ne prenne pas part à la prière publique, plutôt que de déranger celle des autres. C’est, en effet, en allongeant sa prière que l’on reçoit la vitalité et la longévité. Empêcher les autres de le faire revient donc à intenter à leur vie. L’Admour Hazaken souligne que la méditation pendant la prière, destinée à mettre en éveil l’amour de D.ieu qui existe, à l’état latent, dans le cœur de chaque Juif, est bien une obligation de la Torah. C’est de cette façon que l’on met en pratique l’Injonction : “Tu aimeras l’Eternel ton D.ieu”. et qui a fait frémir mes entrailles. Le peuple de D.ieu empêche d’officier un homme qui désire la vie et les longs jours de tous les membres de notre communauté se trouvant dans ce petit sanctuaire, qui appartient à nos frères. Pourtant, comme le disent nos Sages, dont la mémoire est une bénédiction : “trois pratiques prolongent la vie de l’homme”et l’une d’elles consiste à prolonger sa prière. Car, même celui qui vit un moment particulièrement difficile et ne peut en aucune façon attendre suffisamment pour répondre à la Kedoucha, durant la répétition de cet officiant ferait bien mieux de ne pas écouter la Kedoucha et le Bare’hou, plutôt que d’attenter à la vie de ceux qui la désirent car, “dans un cas de force majeure, D.ieu ne blâme pas”. L’officiant l’acquittera donc de son obligation. Bien qu’il ne l’ait pas entendu, il sera considéré comme s’il l’avait entendu et même comme s’il avait répondu, à proprement parler, comme le dit la Guemara* à propos des hommes se trouvant dans les champs et étant ainsi dans un cas de force majeure. Ceux-ci s’acquittent donc de leur obligation de réciter la prière du Chemoné Essré par la répétition de l’officiant, exactement comme s’ils l’avaient entendue, y compris la Kedoucha et le Bare’hou. Or, nous avons fait des recherches et nous avons constaté qu’il en était déjà ainsi, en les premières générations, celles des Sages de la Michna* et de la Guemara*, qui avaient l’étude pour activité fixe. Celle-ci était la phase essentielle de leur service de D.ieu, ce que n’était pas la prière. A fortiori doit-il en être ainsi cette fois-ci, en cette période des talons du Machia’h, alors que notre étude de la Torah n’est pas une activité fixe, car les temps sont difficiles. Car, la phase essentielle du service de D.ieu, en cette période des talons du Machia’h, est la prière, comme le dit Rabbi ‘Haïm Vital*, dont la mémoire est une bénédiction, dans le Ets ‘Haïm* et le Péri Ets ‘Haïm*. Combien plus est-il bon et judicieux de concentrer véritablement notre esprit sur elle. Car, elle est littéralement une obligation de la Torah, pour ceux qui sont versés dans les connaissances et comprennent l’intérêt de la méditation, de la contemplation profonde, jusqu’à un certain point, chacun selon sa mesure, en prononçant l’éloge de D.ieu, béni soit-Il, par les versets des cantiques, Pessoukeï De Zimra*, et par les deux bénédictions précédant le Chema Israël, Yotser et Ahava. C’est ainsi que l’on met en éveil, au sein de sa personnalité, l’amour qui הנה לא טובה השמועה שמעתי ותרגז בטני אשר עם ה’ מעבירים מלפני התיבה האיש החפץ בחיים ואריכות ימים של כל אנ"ש שבמקדש מעט הזה של אנ"ש כמארז"ל שלשה ואף גם מי שהשעה דחוקה לו.דברים מאריכים ימיו של אדם ואחד מהם המאריך בתפלתו ביותר וא"א לו בשום אופן להמתין עד אחר עניית קדושה של חזרת הש"ץ הזה הלא טוב . מלירד לחייהם של החפצים בחיים ואונס רחמנא פטריה.טוב לו שלא לשמוע קדושה וברכו והש"ץ מוציאו ידי חובתו אף שלא שמע כאילו שמע שהוא כעונה ממש וכדאיתא בגמרא גבי עם שבשדות דאניסי ויוצאים ידי חובת תפלת שמו"ע עצמה בחזרת הש"ץ כאלו שמעו והנה זאת חקרנוה כן הוא אף גם בדורות הראשונים של חכמי.ממש וגם קדושה וברכו בכלל ומכש"כ עתה הפעם.המשנה והגמרא שהיתה תורתם קבע ועיקר עבודתם ולא תפלתם ועיקר העבודה בעקבות משיחא היא.בעקבות משיחא שאין תורתינו קבע מצוק העתים מכש"כ וק"ו שראוי ונכון ליתן נפשינו ממש עליה.התפלה כמ"ש הרח״ו ז"ל בע"ח ופע"ח והיא חובה של תורה ממש למביני מדע תועלת ההתבוננות ועומק הדעת קצת כל חד לפום שיעורא דיליה בסדור שבחו של מקום ב"ה בפסוקי דזמרה ושתי ברכות שלפני ק"ש יוצר ואהבה לעורר בהן האהבה המסותרת בלב כל ישראל לבא לבחי’ גילוי בהתגלות הלב בשעת ק"ש עצמה שזאת היא מצות האהבה שבפסוק ואהבת כו’ בכל לבבך כו’ הנמנית ראשונה בתרי"ג מצות כמ"ש הרמב"ם ז"ל שהיא מיסודי התורה ושרשה ומקור לכל רמ"ח מ"ע כי על אהבה המסתורת בלב כל ישראל בתולדתם וטבעם לא שייך ציווי כלל ודעת לנבון נקל כי כשהאהבה היא מסותרת היא עודינה בנפש האלקית לבדה וכשבאה לבחי’ גילוי לנפש החיונית אזי היא התגלות הלב בחלל שמאלי מקום משכן נפש החיונית וזהו ענין בירור ניצוצות המוזכר שם בע"ח ופע"ח גבי תפלה שלכן היא עיקר העבודה בעקבות משיחא לברר ניצוצות כו’ שהוא בחי’ אתהפכא או אתכפי’ של נפש החיונית לנפש האלקית כנודע כי הדם הוא הנפש כו’ והדם מתחדש בכל יום מאוכלין ומשקין וגם מתפעל ונתקן ממלבושים משא"כ בדורות הראשונים שהיו נשמות האלקית גדולי הערך היה הבירור נעשה.’ודירה כו :כרגע בק"ש לבד וברכות שלפניה ופסד"ז בקצרה וכו’ וד"ל est caché dans le cœur de tout Israël, afin qu’il se révèle dans le cœur, pendant la lecture proprement dite du Chema Israël. Telle est donc la Mitsva* de l’amour, exprimée par le verset : “tu aimeras… de tout ton cœur…”, qui est la première des six cent treize Mitsvot*. Comme l’écrit le Rambam*, dont la mémoire est une bénédiction, cette Mitsva* est l’un des fondements de la Torah, la source et l’origine de toutes les deux cent quarante-huit Injonctions. En effet, concernant cet amour caché dans le cœur de tous les enfants d’Israël, de par leur naissance et leur nature, il n’y a pas du tout lieu d’émettre une Injonction. Quiconque est avisé comprendra aisément que l’amour, quand il est caché, se trouve encore uniquement dans l’âme divine. Puis, quand il parvient au stade de la révélation, dans l’âme de vie, il se dévoile alors dans le ventricule gauche du cœur, siège de cette âme de vie. Et, c’est là le sens de l’affinement des parcelles de sainteté, mentionné à cette référence du Ets ‘Haïm* et du Péri Ets ‘Haïm*, à propos de la prière. C’est pour cette raison que celle-ci est la phase essentielle du service de D.ieu, en la période des talons du Machia’h, afin d’affiner ces parcelles… Ce peut être la transformation, Ithaf’ha*, ou bien la maîtrise, Itkafya*, de l’âme de vie par l’âme divine. On sait, en effet, que : “le sang est l’âme…”. Or, le sang se renouvelle chaque jour, à partir des aliments et des boissons. En outre, il est affecté et réparé par les vêtements, le logement…. Il n’en fut pas de même, en revanche, pendant les premières générations, lorsque les âmes divines possédaient une plus grande qualité. L’affinement était alors instantané, uniquement par le Chema Israël, les bénédictions qui le précèdent et les versets abrégés des cantiques, Pessoukeï de Zimra*…. Cela suffira à l’initié. Bien évidemment, la connaissance de la Kabbala* permet une compréhension approfondie de toutes les notions qui sont évoquées dans cet essai. Le Tehilim du Chabbat Yéroushalaïm : Entrée Sortie 15h57 17h18 Kiryat Shmona : 16h03 17h13 Netanya : 16h16 17h18 Tel Aviv : 16h17 17h19 Achdod : 16h17 17h20 Entrée Sortie Haifa 16h06 17h16 Eilat 16h22 17h23 Éditée par Rav Smadja Beth Habbad Francophone Herzlia Pitouha 12 rehov Yaadout Admana Beth Habbad Eilat - rehov 6 rodded Téléphone : 528770612/0544749873 E-mail : mhs770@gmail.com Mon père, le Tséma’h Tsédek, me dit : “ Si vous saviez la force des versets des Tehilim, ce qu’ils accomplissent dans les sphères célestes, vous les liriez sans cesse. Sachez que les Psaumes brisent toutes les barrières, connaissent des élévations successives, auxquelles rien ne peut faire obstacle, qu’ils se déposent devant le Maître des mondes et font leur effet, dans la bonté et la miséricorde ”. (Extrait du journal du Rabbi) RÉPARTITION MENSUELLE DES TÉHILIM Dans votre synagogue, comme dans toutes celles des ‘Hassidim, on instaurera la pratique que j’ai introduite pour toutes les communautés, il y a quelques années, la lecture publique des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, après la prière, suivie d’un Kaddish, à l’issue de chaque o ffi ce. Grâce à cela, D.ieu vous accordera une bénédiction abondante, l’opulence matérielle. Cela vous sera salutaire, matériellement et spirituellement. De la part de votre ami, recherchant votre bien et vous accordant ma bénédiction matérielle et spirituelle, (Lettre, Iguerot Kodech, tome 11, page 224) HAYOM YOM Le Tanya du Chabbat CHABBAT PARACHAT VAYICHLAH SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2016 | 17 KISLEV 5777 HAYOM YOM | 17 KISLEV La ‘Hassidout ‘Habad ouvre les portes des sanctuaires de ‘Ho’hma (l’éclair de la compréhension) et de Bina (l’analyse intellectuelle) afin que l’on connaisse intellectuellement et que l’on reconnaisse Celui qui, par Sa Parole, créa le monde. La ‘Hassidout ‘Habad éveille les sentiments du coeur de tous afin que l’on éprouve l’émotion découlant de cette compréhension. Elle est un guide permettant à chacun, en fonction de son niveau, de s’approcher du Sacré et de servir D.ieu, par son esprit et par son coeur. Psaume de la Rabbanit Psaume du Rabbi פרק קטז י־ה ָּטה ָאזְ נוֹ לִ י ו ְּבי ַָמי ִ ב ִ ּכ:א ָא ַה ְב ִּתי ִ ּכי־י ׁ ְִש ַמע ְי ָי ֶאת־קוֹ לִ י ַּת ֲחנוּנָ י :י־מוֶ ת ו ְּמ ָצ ֵרי ׁ ְשאוֹ ל ְמ ָצאוּנִ י ָצ ָרה וְ יָגוֹ ן ֶא ְמ ָצא ָ ֵ ג ֲא ָפפוּנִ י ֶח ְבל:ֶא ְק ָרא ה ַח ּנוּן ְי ָי וְ ַצדִּ יק וֵ אל ֵֹהינ ּו:ד ו ְּב ׁ ֵשם־ ְי ָי ֶא ְק ָרא ָא ָ ּנה ְי ָי ַמ ְּל ָטה נַ ְפ ׁ ִשי ז ׁשו ִּבי נַ ְפ ׁ ִשי לִ ְמנו ָּחיְכִ י: ו ׁש ֵמר ּ ְפ ָתאיִם ְי ָי דַּ לּ ִתי וְ לִ י יְהוֹ ׁ ִש ַיע:ְמ ַר ֵחם ת־עינִ י ִמן־דִּ ְמ ָעה ֶאת־ ֵ ח ִ ּכי ִח ַ ּל ְצ ָּת נַ ְפ ׁ ִשי ִמ ָּמוֶ ת ֶא:ִ ּכי ְי ָי ָ ּג ַמל ָעלָ יְכִ י י ֶה ֱא ַמנְ ִּתי ִ ּכי ֲא ַד ֵ ּבר: ט ֶא ְת ַה ֵ ּל ְך לִ ְפנֵ י ְי ָי ְ ּב ַא ְרצוֹ ת ַה ַח ּיִים:ַרגְ לִ י ִמדֶּ ִחי ה־א ׁ ִשיב ָ יב ָמ:ל־ה ָא ָדם כּ זֵ ב ָ יא ֲאנִ י ָא ַמ ְר ִּתי ְב ָח ְפזִ י ָּכ:ֲאנִ י ָענִ ִיתי ְמאד יד נְ ָד ַרי: יג כּ וֹ ס־י ְׁשוּעוֹ ת ֶא ּ ָׂשא ו ְּב ׁ ֵשם ְי ָי ֶא ְק ָרא:ל־תגְ מוּלוֹ ִהי ָעלָ י ַּ לַ ְי ָי ָּכ טז:ידיו ָ טו י ָָקר ְ ּב ֵעינֵ י ְי ָי ַה ָּמוְ ָתה לַ ֲח ִס: ֹל־ע ּמו ַ ָלַ ְי ָי ֲא ׁ ַש ֵ ּלם נֶ גְ ָדה־ ָ ּנא לְ כ ָ ָ יז לְ ך־:ן־א ָמ ֶת ָך ּ ִפ ַּת ְח ָּת לְ מוֹ ֵס ָרי ֲ י־אנִ י ַע ְבדֶּ ָך ֲאנִ י ַע ְבדְּ ך ֶ ּב ֲ ָא ָ ּנה ְי ָי ִ ּכ יח נְ ָד ַרי ל ְי ָי ֲא ׁ ַש ֵ ּלם נֶ גְ ָדה־ ָ ּנא:ֶאזְ ַ ּבח זֶ ַבח ּתוֹ ָדה ו ְּב ׁ ֵשם ְי ָי ֶא ְק ָרא : ְ ּב ַח ְצרוֹ ת ֵ ּבית ְי ָי ְ ּבתוֹ כֵ כִ י יְרו ׁ ָּשלָ ם ַהלְ ל ּוי ָּה: ֹל־ע ּמו ַ ָלְ כ פרק קטו :ל־א ִמ ֶּת ָך ֲ ל־ח ְסדְּ ָך ַע ַ א ל ֹא לָ נ ּו ְי ָי ל ֹא לָ נ ּו ִ ּכי לְ ׁ ִש ְמ ָך ֵּתן ָּכבוֹ ד ַע ג וֵ אל ֵֹהינ ּו ַב ׁ ּ ָש ָמיִם כּ ל:יאמר ּו ַהגּוֹ יִם ַא ּיֵה־נָ א ֱאל ֵֹה ֶיהם ְ ב לָ ָּמה ה ּ ֶפה: ד ֲע ַצ ֵ ּב ֶיהם ֶּכ ֶסף וְ זָ ָהב ַמ ֲע ֵׂשה י ְֵדי ָא ָדם:ר־ח ֵפץ ָע ָׂשה ָ ֲא ׁ ֶש ו ָאזְ נַ יִם לָ ֶהם וְ ל ֹא י ׁ ְִש ָמע ּו:ּלָ ֶהם וְ ל ֹא י ְַד ֵ ּבר ּו ֵעינַ יִם לָ ֶהם וְ ל ֹא י ְִראו ז י ְֵד ֶיהם וְ ל ֹא י ְִמ ׁישוּן ַרגְ לֵ ֶיהם וְ ל ֹא י ְַה ֵ ּלכ ּו:ַאף לָ ֶהם וְ ל ֹא י ְִריחוּן ט:שר־בּ ֵט ַח ָ ּב ֶהם ֶ ׁ ח ְ ּכמוֹ ֶהם י ְִהי ּו ע ֵׂש ֶיהם כּ ל ֲא:ל ֹא־י ְֶה ּג ּו ִ ּבגְ רוֹ 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ַּכ ַע ְס ָך ִע ָּמנו ח ַה ְר ֵאנ ּו:ש ְמח ּו ָב ְך ׂ ְ ז ֲהל ֹא ַא ָּתה ָּת ׁשוּב ְּת ַח ּיֵנ ּו וְ ַע ְּמ ָך ִי:לְ דֹר וָ דֹר ט ֶא ׁ ְש ְמ ָעה ַמה י ְַד ֵ ּבר ָה ֵאל ְי ָי ִ ּכי:ְּי ָי ַח ְסדֶּ ָך וְ ֶי ׁ ְש ֲע ָך ִּת ֶּתן לָ נו י ַא ְך:י ְַד ֵ ּבר ׁ ָשלוֹ ם ֶאל ַע ּמוֹ וְ ֶאל ֲח ִס ָידיו וְ ַאל ָי ׁשוּב ּו לְ כִ ְסלָ ה יא ֶח ֶסד וֶ ֱא ֶמת נִ ְפ ָ ּג ׁש ּו:ָּקרוֹ ב לִ ֵיר ָאיו ִי ׁ ְשעוֹ לִ ׁ ְשכּ ֹן ָּכבוֹ ד ְ ּב ַא ְר ֵצנו יב ֱא ֶמת ֵמ ֶא ֶרץ ִּת ְצ ָמח וְ ֶצ ֶדק ִמ ׁ ּ ָש ַמיִם:ֶּצ ֶדק וְ ׁ ָשלוֹ ם נָ ׁ ָשקו יד ֶצ ֶדק לְ ָפנָ יו: יג ַ ּגם ְי ָי ִי ֵּתן ַה ּטוֹ ב וְ ַא ְר ֵצנ ּו ִּת ֵּתן יְבוּלָ ּה:נִ ׁ ְש ָקף ׂ ֵ י ְַה ֵ ּל ְך וְ ָי שם לְ ֶד ֶר ְך ּ ְפ ָע ָמיו פרק פג ב ֱאל ִֹהים ַאל דֳּ ִמי לָ ְך ַאל ֶּת ֱח ַר ׁש וְ ַאל:א ׁ ִשיר ִמזְ מוֹ ר לְ ָא ָסף ָ שנְ ֶא ָ ג ִ ּכי ִה ֵ ּנה אוֹ י ְֶב:ִּת ׁ ְשקֹט ֵאל ד:ֹאש ׁ שא ּו ר ׂ ְ ָיך נ ׂ ַ יך י ֱֶה ָמיוּן ו ְּמ ָ ֶַעל ַע ְּמ ָך י ֲַע ִרימ ּו סוֹ ד וְ י ְִתי ֲָעצ ּו ַעל ְצפוּנ ה ָא ְמר ּו לְ כ ּו:יך ו ִ ּכי נוֹ ֲעצ ּו לֵ ב י ְַחדָּ ו:ש ָר ֵאל עוֹ ד ׂ ְ וְ נַ כְ ִח ֵידם ִמגּוֹ י וְ ל ֹא ִי ָּזכֵ ר ׁ ֵשם ִי ָ ֶָעל : ז ָא ֳהלֵ י ֱאדוֹ ם וְ ִי ׁ ְש ְמ ֵעאלִ ים מוֹ ָאב וְ ַהגְ ִרים:ּיך ְ ּב ִרית יִכְ רֹתו ט ַ ּגם ַא ׁ ּשוּר נִ לְ וָ ה:ח ְ ּג ָבל וְ ַע ּמוֹ ן וַ ֲע ָמלֵ ק ּ ְפלֶ ׁ ֶשת ִעם י ׁ ְֹש ֵבי צוֹ ר יס ָרא ׂ ֵ י ֲע:ִע ָּמם ָהי ּו זְ רוֹ ַע לִ ְבנֵ י לוֹ ט ֶסלָ ה ְ שה לָ ֶהם ְ ּכ ִמ ְדיָן ְ ּכ ִס יב:ש ְמד ּו ְב ֵעין דּ ֹאר ָהי ּו דּ ֶֹמן לָ ֲא ָד ָמה ְ ׁ ִ יא נ:כְ י ִָבין ְ ּבנַ ַחל ִק ׁישוֹ ן פרק פו יג: ֹיבמוֹ ְ ּכע ֵֹרב וְ כִ זְ ֵאב וּכְ זֶ ַבח וּכְ ַצלְ ֻמ ָ ּנע ָ ּכל נְ ִסיכֵ מו ֵ ׁ ִש ֵיתמוֹ נְ ִד ֹ יד ֱאל ַֹהי ׁ ִש ֵיתמו:ֲא ׁ ֶשר ָא ְמר ּו נִ ֲיר ׁ ָשה ָ ּלנ ּו ֵאת נְ אוֹ ת ֱאל ִֹהים ב ׁ ָש ְמ ָרה: טו ְ ּכ ֵא ׁש ִּת ְב ַער י ַָער וּכְ לֶ ָה ָבה ְּתלַ ֵהט א ְּת ִפ ָ ּלה לְ ָדוִ ד ַה ֵּטה ְי ָי ָאזְ נְ ָך ֲענֵ נִ י ִ ּכי ָענִ י וְ ֶא ְביוֹ ן ָאנִ י:כַ ַ ּגלְ ַ ּגל ְ ּכ ַק ׁש לִ ְפנֵ י רו ַּח ָ ֶנַ ְפ ׁ ִשי ִ ּכי ָח ִסיד ָאנִ י הוֹ ׁ ַשע ַע ְבדְּ ָך ַא ָּתה ֱאל ַֹהי ַהבּ וֹ ֵט ַח ֵאל ג:יך ָ ָ ָ ֶ יז ַמ ֵ ּלא ְפנֵ ֶיהם ָח ֵ ּננִ י ֲאדֹנָ י ִ ּכי ֵאל: טז ֵּכן ִּת ְרדְּ ֵפ ָם ְ ּב ַס ֲע ֶרך ו ְּבסו ָּפ ְתך ְת ַב ֲהלֵ ם:ָה ִרים ש ֵּמ ַח נֶ ֶפ ׁש ַע ְבדֶּ ָך ִ ּכי ׂ ַ ד:יך ֶא ְק ָרא ָּכל ַה ּיוֹ ם ֵ יח ֵיב ֹׁש ּו וְ י ָ ִּב ֲהל ּו ֲע ֵדי ַעד וְ י ְַח ּ ְפר ּו וְ י:ָָקלוֹ ן וִ ַיב ְק ׁש ּו ׁ ִש ְמך ְיי ָ ֶ ֵאל:ֹּאבדו ה ִ ּכי ַא ָּתה ֲאדֹנָ י טוֹ ב וְ ַס ָ ּלח וְ ַרב ֶח ֶסד:שא ׂ ָ ּ יך ֲאדֹנָ י נַ ְפ ׁ ִשי ֶא יט וְ י ְֵדע ּו ִ ּכי ַא ָּתה ׁ ִש ְמ ָך ְי ָי לְ ַבדֶּ ָך ֶעלְ יוֹ ן ַעל ָּכל ָה ָא ֶרץ ָ ז:יבה ְ ּבקוֹ ל ַּת ֲחנוּנוֹ ָתי ָ ו ַה ֲאזִ ינָ ה ְי ָי ְּת ִפ ָ ּל ִתי וְ ַה ְק ׁ ִש:לְ כָ ל ק ְֹר ֶאיך ָ פרק פד ח ֵאין ָּכמוֹ ך ָב ֱאל ִֹהים ֲאדֹנָ י וְ ֵאין:ְ ּביוֹ ם ָצ ָר ִתי ֶא ְק ָר ֶא ָּך ִ ּכי ַת ֲענֵ נִ י ָ ָ ש ָית יָבוֹ א ּו וְ ִי ׁ ְש ַּת ֲחו ּו לְ ָפנֶ יך ֲאדֹנָ י ׂ ִ ט ָּכל גּוֹ יִם ֲא ׁ ֶשר ָע:שיך ׂ ֶ ְ ּכ ַמ ֲע ָ שה נִ ְפלָ אוֹ ת ַא ָּתה ֱאל ִֹהים ׂ ֵ ֹ י ִ ּכי גָ דוֹ ל ַא ָּתה וְ ע: ב ַמה ּי ְִדידוֹ ת וִ יכַ ְ ּבד ּו לִ ׁ ְש ֶמך:א לַ ְמנַ ֵ ּצ ַח ַעל ַה ִ ּג ִּתית לִ ְבנֵ י ק ַֹרח ִמזְ מוֹ ר ָ ִמ ׁ ְש ְ ּכנוֹ ֶת יא הוֹ ֵרנִ י ְי ָי דַּ ְר ֶּכ ָך ֲא ַה ֵ ּל ְך ַ ּב ֲא ִמ ֶּת ָך י ֵַחד לְ ָב ִבי לְ י ְִר ָאה: ג נִ כְ ְס ָפה וְ גַ ם ָּכלְ ָתה נַ ְפ ׁ ִשי לְ ַח ְצרוֹ ת ְי ָי לְ ַבדֶּ ָך:יך ְי ָי ְצ ָבאוֹ ת ׂ ָ לִ ִ ּבי ו ְּב יג:ש ְמ ָך לְ עוֹ לָ ם ִ ׁ יב אוֹ ְד ָך ֲאדֹנָ י ֱאל ַֹהי ְ ּבכָ ל לְ ָב ִבי וַ ֲאכַ ְ ּב ָדה: ד ַ ּגם ִצ ּפוֹ ר ָמ ְצ ָאה ַביִת ו ְּדרוֹ ר ֵקן ׁ ְש ֶמ ָך:ש ִרי י ְַר ְ ּננ ּו ֶאל ֵאל ָחי ָ ָ יד ֱאל ִֹהים:לָ ּה ֲא ׁ ֶשר ׁ ָש ָתה ֶא ְפר ֶֹח ָיה ֶאת ִמזְ ְ ּבחוֹ ֶתיך ְי ָי ְצ ָבאוֹ ת ַמלְ ִ ּכי ִ ּכי ַח ְסדְּ ך ָ ּגדוֹ ל ָעלָ י וְ ִה ַ ּצלְ ָּת נַ ְפ ׁ ִשי ִמ ׁ ּ ְשאוֹ ל ַּת ְח ִּת ּיָה :שמו ָּך לְ נֶ גְ דָּ ם ׂ ָ ו ַא ׁ ְש ֵרי ָא ָדם זֵ ִדים ָקמ ּו ָעלַ י וַ ֲע ַדת ָע ִר ִיצים ִ ּב ְק ׁש ּו נַ ְפ ׁ ִשי וְ ל ֹא: ה ַא ׁ ְש ֵרי יוֹ ׁ ְש ֵבי ֵב ֶית ָך עוֹ ד י ְַהלְ לו ָּך ֶּסלָ ה:וֵ אל ָֹהי ִ ׁ ז ע ְֹב ֵרי ְ ּב ֵע ֶמק ַה ָ ּבכָ א ַמ ְעיָן ְי:עוֹ ז לוֹ ָב ְך ְמ ִסלּ וֹ ת ִ ּבלְ ָב ָבם טז:שיתוּה ּו טו וְ ַא ָּתה ֲאדֹנָ י ֵאל ַרחוּם וְ ַח ּנוּן ֶא ֶר ְך ַא ּ ַפ ִים וְ ַרב ֶח ֶסד וֶ ֱא ֶמת יז:יעה לְ ֶבן ֲא ָמ ֶת ָך ָ ח יֵלְ כ ּו ֵמ ַחיִל ֶאל ָחיִל י ֵָר ֶאה ֶאל ֱאל ִֹהים ּ ְפנֵ ה ֵאלַ י וְ ָח ֵ ּננִ י ְּתנָ ה ֻע ְּז ָך לְ ַע ְבדֶּ ָך וְ הוֹ ׁ ִש:ַ ּגם ְ ּב ָרכוֹ ת י ְַע ֶטה מוֹ ֶרה שֹנְ ַאי וְ ֵיב ֹׁש ּו ִ ּכי ַא ָּתה ְי ָי ֲעזַ ְר ַּתנִ י ׂ שה ִע ִּמי אוֹ ת לְ טוֹ ָבה וְ י ְִרא ּו ׂ ֵ ט ְי ָי ֱאל ִֹהים ְצ ָבאוֹ ת ׁ ִש ְמ ָעה ְת ִפ ָ ּל ִתי ַה ֲאזִ ינָ ה ֱאל ֵֹהי ֲע:ְ ּב ִצ ּיוֹ ן יא ִ ּכי טוֹ ב: י ָמגִ ֵ ּננ ּו ְר ֵאה ֱאל ִֹהים וְ ַה ֵ ּבט ּ ְפנֵ י ְמ ׁ ִש ֶיח ָך:י ֲַעקֹב ֶסלָ ה וְ נִ ַח ְמ ָּתנִ י ָ יוֹ ם ַ ּב ֲח ֵצ ֶר יך ֵמ ָאלֶ ף ָ ּב ַח ְר ִּתי ִה ְס ּתוֹ ֵפף ְ ּב ֵבית ֱאל ַֹהי ִמדּ וּר יב ִ ּכי ׁ ֶש ֶמ ׁש ו ָּמגֵ ן ְי ָי ֱאל ִֹהים ֵחן וְ כָ בוֹ ד ִי ֵּתן ְי ָי ל ֹא:ְ ּב ָא ֳהלֵ י ֶר ׁ ַשע פרק פז ב א ֵֹהב ְי ָי ׁ ַש ֲע ֵרי: יג ְי ָי ְצ ָבאוֹ ת ַא ׁ ְש ֵרי ָא ָדם בּ ֵֹט ַח ָ ּב ְך א לִ ְבנֵ י ק ַֹרח ִמזְ מוֹ ר ׁ ִשיר יְסו ָּדתוֹ ְ ּב ַה ְר ֵרי ק ֶֹד ׁש:י ְִמנַ ע טוֹ ב לַ הֹלְ כִ ים ְ ּב ָת ִמים ג נִ כְ ָ ּבדוֹ ת ְמ ֻד ָ ּבר ָ ּב ְך ִעיר ָה ֱאל ִֹהים:ִצ ּיוֹ ן ִמכּ ֹל ִמ ׁ ְש ְ ּכנוֹ ת י ֲַעקֹב פרק פה ד ַאזְ ִ ּכיר ַר ַהב ו ָּב ֶבל לְ י ְֹד ָעי ִה ֵ ּנה ְפלֶ ׁ ֶשת וְ צוֹ ר ִעם כּ ו ּׁש זֶ ה:ֶסלָ ה ה וּלֲ ִצ ּיוֹ ן י ֵָא ַמר ִא ׁיש וְ ִא ׁיש י ַ ֻּלד ָ ּב ּה וְ הוּא יְכוֹ נְ נֶ ָה:י ַ ֻּלד ׁ ָשם ) ב ָר ִצ ָית ְי ָי ַא ְר ֶצ ָך ׁ ַש ְב ָּת (שבות:א לַ ְמנַ ֵ ּצ ַח לִ ְבנֵ י ק ַֹרח ִמזְ מוֹ ר ז וְ ׁ ָש ִרים: ו ְי ָי י ְִס ּפֹר ִ ּבכְ תוֹ ב ַע ִּמים זֶ ה י ַ ֻּלד ׁ ָשם ֶסלָ ה:ֶעלְ יוֹ ן ד:אתם ֶסלָ ה ׂ ָ ָ ג נ:ׁ ְש ִבית י ֲַעקֹב ָ את ֲעוֹ ן ַע ֶּמ ָך ִ ּכ ִּס ָית כָ ל ַח ָּט ָ ש ְְ ּכחֹלְ לִ ים ָּכל ַמ ְעיָנַ י ָ ּבך SEFER HAMAAMARIM ָ = יְ יAdo-nay Extrait du Séfer Hamaamarim, édition Beth Loubavitch La Torah et la crainte de D.ieu sont les clés intérieures et extérieures. L’étude et la connaissance de la Torah sont deux domaines indépendants. On distingue la Crainte Inférieure et la Crainte Supérieure, la Connaissance Inférieure et la Connaissance Supérieure et, parmi les Préceptes divins, il y a trois catégories, les “Témoignages”, les “Décrets” et les Jugements”. Le début du service de D.ieu est la soumission totale, l’acceptation du joug de la Royauté divine. Pour participer à répandre cette diffusion et faire une dédicace : tehilimyomi@gmail.com Psaume 83 (Chir) (1) Chant, Psaume d’Assaf. (2) D.ieu, ne sois pas silencieux, ne reste pas tranquille, ne Te tais pas, Tout-Puissant. (3) Car, voici, Tes ennemis enragent, Tes adversaires ont dressé la tête. (4) Ils complotent avec malice contre Ton peuple et ils conspirent contre ceux qui trouvent abri en Toi. (5) Ils disent : “ Venez, décimons-les de l’humanité et que l’on ne se souvienne plus du nom d’Israël ”. (6) Car, ils manigancent ensemble, d’un cœur unanime. Ils ont conclu une alliance contre Toi. (7) Les tentes d’Edom et les Ismaélites, Moav et les Hagrites, (8) Gueval, Amon et Amalek, la Philistie, les habitants de Tyr (9) et même l’Assyrie les ont rejoint, sont devenus les bras renforçant les fils de Loth, pour toujours. (10) Agis envers eux comme envers Midyan, comme envers Sisra et Yavin, près du ruisseau de Kishon, (11) qui furent détruits à Eïn Dor et devinrent comme des immondices sur le sol. (12) Rends leurs nobles comme Orev et Zeev, tous leurs princes comme Zeva’h et Tsalmouna. (13) Car, ils ont dit : “ Héritons pour nous des demeures agréables de D.ieu ”. (14) Mon D.ieu, rends-les comme une balle qui tourne, comme un fétu de paille dans le vent, (15) comme le feu qui brûle la forêt, comme la flamme qui embrase les montagnes. (16) Ainsi, Tu les poursuivras par Ta tempête et Tu les terrifieras par Ton orage. (17) Emplis leur visage de honte, afin qu’ils recherchent Ton Nom, Eternel. (18) Qu’ils soient humiliés et terrorisés pour toujours. Qu’ils soient avilis et qu’ils périssent. (19) Alors, ils sauront que Toi seul, dont le Nom est l’Eternel, Tu es le Très-Haut, sur toute la terre. Psaume 84 (La Menatséa’h) (1) Au chef des chantres, sur le Guitit, par les fils de Kora’h, un Psaume. (2) Comme sont agréables Tes demeures, Eternel des armées. (3) Mon âme a la nostalgie, elle a soif des cours de l’Eternel. Mon cœur et ma chair veulent chanter de joie pour le D.ieu ToutPuissant Qui vit. (4) Et, même l’oiseau a trouvé une maison, l’hirondelle une nid pour elle, dans lequel elle place ses petits, sur les ruines de Ton autel, Eternel des armées, mon Roi et mon D.ieu. (5) Heureux sont ceux qui résident dans Ta maison. Ils Te loueront encore pour l’éternité. (6) Heureux est l’homme qui place sa puissance en Toi. Les chemins de la droiture se trouvent dans son cœur. (7) Car, Il placera près d’une source ceux qui traversent la vallée des épines. Et, des bénédictions envelopperont celui qui les guide. (8) Ils iront de puissance en puissance et ils apparaîtront devant D.ieu à Sion. (9) Eternel D.ieu des armées, entends ma prière. Ecoute, D.ieu de Yaakov, pour l’éternité. (10) Vois notre bouclier, D.ieu et observe la face de Ton oint. (11) Car un jour dans Tes cours est préférable à mille jours ailleurs. Je préfère me tenir au seuil de la Maison de D.ieu, plutôt que de résider confortablement dans les tentes des impies. (12) Car, le soleil, le bouclier est l’Eternel D.ieu. L’Eternel accorde la grâce et l’honneur. Il ne privera pas du bien ceux qui avancent dans la droiture. (13) Eternel des armées, heureux est l’homme qui place sa confiance en Toi. Psaume 85 (La Menatséa’h) (1) Au chef des chantres, des fils de Kora’h, un Psaume. (2) Eternel, Tu as accordé Ta faveur à Ta terre. Tu as fait revenir de Babylone la captivité de Yaakov. (3) Tu as pardonné l’iniquité de Ton peuple. Tu as recouvert toutes leurs fautes, pour toujours. (4) Tu as écarté toute Ta colère. Tu as supprimé l’acharnement de ton courroux. (5) Fais-nous revenir de l’exil, D.ieu de notre délivrance et supprime Ton irritation contre nous. (6) T’emporteras-Tu toujours contre nous ? Ta fureur s’étendra-t-elle sur toutes les générations ? (7) Voici qu’au final, Tu nous feras revivre, afin que Ton peuple se réjouisse en Toi. (8) Eternel, montre-nous Ton bienfait et accordenous Ton salut. (9) J’entendrai ce que dira le Tout-Puissant, l’Eternel, car Il parlera de paix à Son peuple et à Ses hommes pieux, qui ne reviendront plus à leur folie. (10) Sa délivrance est sûrement très proche de ceux qui Le craignent, afin que la gloire réside en notre Terre. (11) Le bienfait et la vérité se sont rencontrés. La droiture et la paix se sont embrassées. (12) La vérité poussera de la terre et la loyauté sera observée des cieux. (13) L’Eternel donnera également le bien et notre terre produira son fruit. (14) La probité le précédera et il placera ses pas sur le chemin. Psaume 86 (Tefila) (1) Prière de David. Eternel, tends Ton oreille, réponds-moi, car je suis pauvre et dénué de tout. (2) Garde mon âme, car je suis pieux. Sauve, Toi mon D.ieu, Ton serviteur qui a confiance en Toi. (3) Mon Maître, prends-moi en grâce, car c’est Toi que j’invoque tout le jour. (4) Réjouis l’âme de Ton serviteur, car j’élève mon âme vers Toi, mon Maître. (5) Car, Tu es bon, mon Maître et Tu pardonnes. Ton bienfait est abondant envers tous ceux qui T’appellent. (6) Ecoute ma prière, Eternel et entends le son de mes supplications. (7) Au jour de ma détresse, je T’invoque, car Tu me répondras. (8) Nul n’est comme Toi parmi les êtres supérieurs, mon Maître et il n’est pas d’actions comme les Tiennes. (9) Toutes les nations que Tu as faites viendront et se prosterneront devant Toi, mon Maître. Elles rendront honneur à Ton Nom. (10) Car, Tu es grand et Tu accomplis des merveilles, Toi seul, D.ieu. (11) Eternel, enseigne-moi Ta voie, afin que je marche dans Ta vérité. Unis mon cœur pour craindre Ton Nom. (12) Je Te rendrai grâce, mon Maître, mon D.ieu, de tout mon cœur et j’honorerai Ton Nom à jamais. (13) Car Ton bienfait envers moi a été grand et Tu as sauvé mon âme des profondeurs du tombeau. (14) D.ieu, des hommes impies se sont dressés contre moi, une bande d’arrogants s’en est pris à mon âme et ils ne Te prêtent pas attention. (15) Et Toi, mon Maître, D.ieu magnanime et miséricordieux, lent dans la colère, prodigue dans le bienfait et la vérité, (16) tourne-Toi vers moi et prends-moi en grâce. Accorde Ta puissance à Ton serviteur et délivre le fils de Ta servante. (17) Faismoi un signe de faveur. Ainsi, mes ennemis le verront et ils auront honte, car Toi, Eternel, Tu m’auras aidé et consolé. Psaume 87 (Livneï) (1) Des fils de Kora’h, un Psaume, un chant, dont le thème fondamental est l’éloge des saintes montagnes de Sion et de Jérusalem. (2) L’Eternel aime les portes de Sion plus que tous les Sanctuaires de Yaakov. (3) Car, des propos grandioses y sont prononcés à ton propos, cité éternelle de D.ieu. (4) Je mentionnerai Rahav et Babylone à propos de ceux que J’aime. Voici, la Philistie et Tyr, de même que l’Ethiopie : “ Celui-ci est né là-bas ”. (5) Et, à Sion, on dira : “ Cette personne et celle-là sont nées là-bas ” et Il l’établira au-dessus des autres cités. (6) L’Eternel comptera, quand Il recensera les nations pour le Jugement, ceux qui disent : “ Celui-ci est né làbas ” pour l’éternité. (7) Les chanteurs, de même que les joueurs de flûte, diront : “ Toutes mes pensées profondes sont pour Toi ”. Applications du Beth Loubavitch sur Android et AppStore Grâce au Dvar Malhout en hébreu/français, étudiez en toute tranquilité Inscription pour recevoir le Dvar Malhout chez vous pour tous les jours de la semaine : Tél. : 01.77.38.00.95 - E-mail : dvar770@gmail.com Site internet : www.dvarmalkhout.org
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